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Péninsule de Samaná : 10 Bonnes raisons de voyager hors saison

⏱ Temps de lecture : 11 minutes

Ras le bol des hôtels tout inclus ? Des vacances formatées et réglées sur le même rythme que le métro-boulot-dodo habituel ? Vous êtes donc prêts pour l’aventure ! Aventure rime souvent avec Nature, et dans la péninsule de Samaná, vous serez gâtés, car sans être obligés de venir en tenue de Tarzan et Jane, vous trouverez de quoi occuper vos vacances hors des sentiers battus.

Que faire en République dominicaine ?

A vous qui me lisez en majorité depuis l’Europe ou le Québec, l’été n’est plus qu’à quelques jours de caprices météorologiques des grandes vacances, alors j’ai pensé que cet article pourrait vous inspirer.

Las Galeras, Samana, dominicaine

La République dominicaine se trouve au nord de la ligne d’équateur, nous sommes donc bien en été du 21 juin au 21 septembre.
Néanmoins, à la différence des pays plus au nord, la haute-saison, pour nous, c’est de mi-décembre à mi-mars, d’abord parce que le pays accueille à cette période là les nombreux « snow-birds » (retraités du Québec) qui fuient le froid hivernal, mais aussi parce que c’est la période où l’on peut observer près de 3000 baleines à bosse qui viennent se reproduire dans la baie de Samaná.

C’est sur cet événement annuel que l’Office du Tourisme de la République dominicaine à communiqué et fait la réputation de la péninsule de Samaná pendant la dernière décennie, avant de changer d’axe ces 2-3 dernières années en valorisant -finalement– les nombreux autres atouts de cette région qui méritent amplement une visite tout le reste de l’année.
Et avec raison, puisque comme je le dis et le répète dans mon blog depuis 10 ans, la région mérite de s’y attarder une bonne dizaine de jours pour en faire le tour : jugez-en vous même avec les idées d’itinéraires que je vous propose ici.  

Et si vous sortiez des sentiers battus et des hôtels tout inclus ?

Alors si vous en avez soupé de la Corse ou la Côte d’Azur au mois de juillet, serviette contre serviette, des Landes ou de la Bretagne… « brrrrr, mais c’est qu’elle est fraîche hein ! », « T’as pris ton ciré jaune ? », que vous partiez en Provence ou dans le Gard, c’est sympa mais pas toujours très exotique. La Grèce, l’Italie, l’Espagne, sympa aussi… mais que diriez-vous d’un peude changement, de forêt tropicale, de plages vierges, d’aventure et de contrastes, bref de dépaysement total.
Car s’il est vrai que l’on conçoit généralement des vacances sous les cocotiers de la République dominicaine comme une alternative aux antidépresseurs en hiver, c’est pourtant une destination idéale le reste de l’année à laquelle on ne pense pas vraiment.  

Pour vous en convaincre, je vous ai préparé un petit top des 10 bonnes raisons de visiter notre région toute l’année !  

#1 – Parce qu’en République dominicaine il fait beau 320 JOURS PAR AN

Alors d’accord, on évite la période du 20 août au 20 septembre, particulièrement propice aux ouragans (à moins d’être addict aux sensations fortes), bien que les constructions touristiques de la région soient généralement solides et que même en 2017 malgré le passage d’Irma et Maria, il y ait eu très peu de dégâts en République dominicaine, contrairement à ses pauvres sœurs des petites Antilles.

Ceci dit, si vous êtes hébergé dans un hôtel « en dur » vous ne courrez pas un grand danger ; toutes les précautions sont toujours prises pour protéger « les touristes bénis ». Dans la majorité des cas, vous serez condamnés à rester enfermés en attendant que ça passe, de belles soirées de cartes à la bougie en perspective…!
En période de « pluies » (souvent en mai et novembre, mais ce n’est pas une règle absolue), c’est généralement la nuit que tombent des seaux d’eau, laissant la place dès le milieu de matinée à un grand et beau soleil pour le reste de la journée. Aussi, il est toujours utile de glisser une cape de pluie dans sa valise pour les cas où.

Inutile de regarder les prévisions météo de là où vous êtes, nous vivons une région où le temps peut-être très changeant avec de nombreux micro-climats. Les averses peuvent être très ponctuelles et très localisées, il est par exemple fréquent qu’il pleuve des cordes à Samaná et que nous ayons grand soleil à Las Galeras, 35 km plus loin. Du coup, pour ne pas se mouiller (humour !) les sites de prévision météo affichent quasiment toute l’année des nuages et averses sur la carte de la région. Déprimant et surtout pas fiable, alors ici on ne regarde jamais la météo mais le ciel, et il est presque toujours bleu.

Pour le reste, c’est une moyenne de 20 à 30°C toute l’année avec des pics en été, si vous aimez la chaleur humide vous serez comblés : peau hydratée, rides effacées et peau de crocodile oubliée !

#2 – Parce qu’en République dominicaine, LA MER EST À 28°C MINIMUM… toute l’année

Les plus frileux n’en reviendront pas… entrer dans la mer comme on entrerait dans sa baignoire… oui, mais une baignoire géante emplie de beaux poissons exotiques.

Le pied total, en particulier en été (21 juin – 21septembre) où la mer peut atteindre les 32° C.

Et pour les bretons qui aiment se baigner dans une eau « revigorante », ils pourront toujours aller se rafraîchir dans les « balnéarios« , ces piscines naturelles et 100% locaux où les dominicains aiment passer les fins de semaine: sources d’eaux froides, rivières et cascades à l’eau glacée ; il y en a un peu partout dans le pays, ambiance locale garantie, et quand il fait chaud chaud, eh bien on est bien content de les trouver !

#3 – Parce que les dominicains ont TOUJOURS LE SOURIRE

Marre d’être traités de touristes, repoussés, voire carrément  agressés par les autochtones qui en ont marre de voir leurs petits villages littéralement envahis par des hordes de touristes 3 mois par an ?

Ici vous serez les bienvenus, il y a de la place pour tout le monde, les dominicains sont accueillants et toujours souriants.
Bien entendu, il faut aussi savoir que c’est un pays pauvre, que vous représenterez une source de revenus et qu’il vous faudra négocier les prix. Il suffit de se détendre et de prendre cela comme un jeu, et vous verrez que rapidement cette habitude deviendra un excellent prétexte pour améliorer votre espagnol et échanger quelques mots avec les locaux !  
Les dominicains sont réputés pour être accueillants, généreux et aimables. Un dominicain n’hésitera pas à vous donner « una bola » (vous avancer en moto) ou traverser la moitié du village pour vous montrer où se trouve l’arrêt des guaguas (transports locaux), vous donner une chaise pour vous asseoir si vous attendez dans la rue ou partager son repas avec vous. Les gens vous salueront de la main sur votre passage, les enfants vous lanceront un joyeux « hola! » (bonjour).

#4 – Parce que vous aimez LA NATURE

La péninsule de Samaná est aujourd’hui connue pour être l’une des régions les plus sauvages et luxuriantes de la République dominicaine.
On dit que c’est la plus grande concentration de cocotiers au monde, autant vous dire que vous avez intérêt à lever la tête avant de vous assoupir sous un cocotier ! Une nature luxuriante, préservée et sauvage, c’est ce qui vous attend dès que vous franchissez un pas hors des zones touristiques.

Des plages de rêve totalement vierges (et donc pas forcement nettoyées des rebuts de la mer), une forêt tropicale intacte et sans animaux dangereuxdes cascades et des paysages à couper le souffle, si vous rêvez de jouer à Indiana Jones ou aux Pirates des Caraïbes, vous avez choisi la bonne destination* !
*Ne vous aventurez toutefois pas seul.e.s hors des chemins connus et fréquentés, les sentiers sont rarement indiqués et la nature efface les traces en quelques jours.
A vos risques et périls !

#5 – Parce que vous serez ENFIN SEUL(S) AU MONDE

Ras de bol de chercher les 80 pauvres centimètres carrés encore libres pour poser votre serviette sur la plage, une chaise inoccupée sur la terrasse du café de la place ou de rencontrer votre chef en slip de bain ou votre ex- sur la plage de Trifouillis-les-Oies ?

Ici, vous aurez des plages interminables pour vous seuls.
Tellement vides que d’ailleurs on vous recommandera parfois de ne pas trop vous éloigner du petit groupe de personnes qui sont venus le même jour. Ici, là, ou là… la plage est à vousla forêt est à vous, vous pourrez même hurler votre joie sans que personne ne s’en incommode !
Pour les excursions, il ne sera pas rare que vous ne soyez 5, 6 personnes tout au plus en basse saison pour découvrir la beauté de notre région. Quel plaisir de faire une excursion en mode « VIP »entre amis ou en famille et ne pas se sentir comme un bovin bagué, trimballé de site en site au pas de course, non ?  

Et si par le plus grand des hasards vous tombez sur votre chef qui avait choisi la même destination, c’est probablement qu’il.elle a très bon goût et vous serez ravi.e.s d’échanger vos bons plans avec lui.elle !  

Le + : la demande baissant et les hôtels étant moins remplis en basse-saison, vous pourrez obtenir de bons tarifs et des réductions un peu partout, profitez-en et contactez-moi pour que je vous en fasse profiter !

#6 – Parce que vous n’en POUVEZ PLUS de la vie à 200 à l’heure

Zeeeennnn… ! On reste ZEN ! 

Les 3 premiers jours seront une épreuve pour vos nerfs.

Et puis peu à peu… la coulitude va s’emparer de vous. Quand vous aurez attendu 45mn pour avoir votre -délicieux- poisson grillé, les pieds dans le sable, préparé par une mama qui vous a déjà apporté 2 piñas coladas, vous verrez que vous commencerez à lâcher la pression. 
Au fil des jours, votre démarche ralentira, vous commencerez à savourer le rythme « doucement le matin, pas trop vite le soir » et au bout d’une semaine, vous direz à votre chéri.e « attends, on peut bien encore se boire une petite Presidente avant d’aller prendre l’apéro non ? ».

Ici, le maître mot est NONCHALANCE. On prend son temps, on (ré-)apprend à vivre au rythme du soleil, on enlève sa montre, on laisse son portable (et ses bijoux) dans sa chambre et on oublie la date du jour.

Mon conseil : pensez-quand même à vous mettre une petite alarme pour ne pas oublier de prendre votre vol de retour… à moins que… oupssss… !

#7 – Parce que que vous avez besoin de DÉCONNECTER

En 2002 lorsque j’ai découvert la péninsule de Samaná, il n’y avait pas encore de réseau mobile à Las Galeras.

On arrivait ici et on rangeait son téléphone dans sa valise jusqu’à son départ. La technologie nous a rattrapés, et vous verrez qu’aujourd’hui la jeune fille qui vous saluait lorsque vous passiez devant sa maison est en en train de tchatter sur Whatsapp, accrochée à son téléphone. Elle ne lèvera même peut-être plus les yeux sur vous.
C’est bien dommage, mais c’est ainsi, à qui la faute ?

Comme les communications vous coûteront cher et que la 5 G n’est pas encore arrivée, vous en profiterez pour oublier vos mails professionnelsvotre ex- et vos tracas, au moins pendant quelques jours, si ce n’est pour poster de superbes photos de nature vierge et faire baver vos confrères. Et ça, c’est MAL.

Et puis, si vous n’arrivez vraiment pas à décrocher, faites appel à mes bons plans et je vous envoie passer 2 ou 3 jours dans une cabane perché en pleine jungle sans réseau mobile à seulement 20mn d’une petite ville. 
Je peux vous assurer que vous allez déconnecter et vous voudrez même y retourner !

#8 – Parce que vous allez DÉCOUVRIR UNE AUTRE CULTURE, un autre rythme de vie, un pays différent

Bienvenue 20, 100 ou même 150 ans en arrière !

Prenez vous pour Marty McFly, enfourchez votre  ̶D̶e̶L̶o̶r̶e̶a̶n̶ quad et parcourez l’arrière-pays en compagnie  ̶d̶u̶ ̶d̶o̶c̶t̶e̶u̶r̶ ̶E̶m̶m̶e̶t̶t̶ ̶B̶r̶o̶w̶n̶  d’un guide local. Vous (re) découvrirez la vie rurale d’antan. Des petites maisons colorées construites en palme avec cuisine extérieure où on fait la cuisine dans un chaudron au dessus du feu de bois, où l’on utilise encore des anes, des mulets ou des chevaux pour transporter les « víveres » (« les vivres » ou marchandises) sur les chemins de terre rouge, où enfants jouent en poussant une chambre à air avec un bâton, où l’on croise des écoliers en uniforme qui sortent de l’école, deux femmes qui écossent des guandules (haricots) en vous regardant passer, quatre dominicains qui font claquer leurs dominos à une table ; faites un bond dans le passé, sans jugement de valeur mais au contraire un regard généreux
Vous serez contents de retrouver cette forme de vie plus proche de la terre, des valeurs de base, sans chichis ni Iphone 10.
Bien sûr, pour les locaux ça à peut-être moins de charme que pour vous ; les jeunes, eux, rêvent d’une grosse voiture avec des amplis 150000 watts, leurs parents d’une maison en briques avec air conditionné, mais VOUS, ça vous remettra un peu les idées en place et peut-être même que ça amorcera en vous une prise de conscience.  

#9 – Parce que vous avez un besoin de LIBERTÉ

La République dominicaine, bien qu’ayant été découverte par Christophe Colomb en 1492, est encore un pays « jeune ».
Il a représenté un « el dorado » pour de nombreux européens venus principalement s’installer dans la péninsule de Samaná dans les 30 dernières années.
Des villages de pêcheurs comme l’étaient Las Terrenas dans les années 80 et qu’est encore aujourd’hui et jusqu’à quand ?- Las Galeras, ont vu arriver de jeunes navigateurs un peu hippies et plein d’idéaux dans un paysage où tout restait à faire. Pas de lois, pas d’obligations, pas d’interdits, ici vous verrez une famille de 4 personnes rouler à moto, en voiture sans ceinture de sécurité, vous pourrez boire votre rhum et fumer dans la plupart des lieux publics, installer un commerce sans payer le moindre impôt ni déclarer quoi que ce soit, et même sans avoir vos papiers en règle !

Enfin, de moins en moins car les temps changent, et peu à peu le gouvernement essaye de s’aligner sur les pays « plus développés » en faisant respecter les lois qui ne l’ont jamais été.
Pour le plus grand bien du pays.
Mais bien sûr, cela prend du temps, et quand on n’a jamais payé un impôt -qui plus est qui risque assurément de partir dans les poches de politiciens corrompus-, la pilule est difficile à avaler.

Il n’en reste pas moins que ce sentiment de liberté absolue (avec ses avantages et ses inconvénients) est ennivrant pour qui vient d’un pays où tout est soumis à une règlementation.
Ce n’est pas une raison pour ne pas respecter le pays, ses règles et ses habitants, à bon entendeur…!

#10 – Parce que vous n’en pouvez plus de cette SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION

Deux colmados (épiceries) pour un village, et des colmaditos à chaque coin de rue dans les hameaux où vous pourrez acheter les quelques denrées de base qui s’y trouvent à l’unité ou au poids.
Un petit gateau, un sachet (de la taille d’un échantillon) de champoing, de poudre à laver, un bouillon cube, 2 gousses d’ail, et dans les hameaux les plus reculés vous verrez probablement encore des enfants venir acheter une cuillère à soupe d’huile, une cuillèrée à café de sel et une livre de riz pour préparer le dîner.

Dans une bonne partie du pays, vous devrez vous habituer à ne vivre avec l’éléctricité que quelques heures par jour et à vous laver à l’eau tempérée, avec un bidon d’eau et une tasse en guise de douche.
Si vous voulez faire 100% local, vous n’aurez qu’un éventail réduit de plats dans les comedores (restaurants locaux) et des fruits et légumes de saison. Ca tombe bien, les mangues, chinolas (fruits de la passion), avocats seront de saison et vous pourrez vous gaver pour presque rien.
Si vous tenez à acheter des souvenirs ou rapporter quelques cadeaux, pensez au café, chocolat ou miel local, à l’huile de coco artisanale, aux pierres de larimar ou d’ambre, les tableaux naïfs et sculptures en bois et bien sûr le rhum ou les cigares… mais pour être sincère, vous ne serez probablement pas venus pour ça, ce n’est pas le pays du « shopping ». Cela ne doit toutefois pas vous empêcher de faire fonctionner le commerce local.

Sortez de votre resort, malgré les avertissements dissuasifs qui n’ont pour but que vous obliger à consommer au sein de l’hôtel qui multiplie les prix par 2 ou 3, et venez découvrir la vraie vie au village.

Vous pouvez aussi profiter de ce voyage pour faire une bonne action en apportant tout ce que vous avez accumulé chez vous dans votre course effrénée à la consommation afin d’en faire profiter les plus démunis par des dons :

Des vêtements, des médicaments non périmés qu’un médecin local redistribuera, un masque et un tuba qui feront la joie des enfants ou de leur père pêcheur, des gants de jardin qui permettront à un jardinier d’éviter de se faire piquer par une bestiole, votre collection de lampes de poches qui sera une aubaine pour une famille, des lunettes de bricolage qui protégeront les yeux d’un ferrailleur, celles d’un presbyte qui aideront une personne âgée à y revoir de près,a votre 25ème gilet jaune ou votre 4ème triangle de sécurité qui protégera possiblement une vie, et bien entendu un vieux téléphone -même votre vieux Nokia des années 80 que vous n’imaginez même pas remettre en service- qui permettra peut-être à un marin perdu en mer d’être enfin retrouvé après 4 jours de dérive… (c’est du vécu, à venir dans un prochain article).
Ici on recycle tout, la vie est simple, vous en reviendrez grandi.

Alors, c’est décidé ?
 
Cabane perchée dans les arbres, écolodge, hostel ou hôtel en plein centre de Las Galeras avec vue sur la mer, 100% des voyageurs ayant fait appel à mes services sont satisfaits, et c’est eux qui le disent.
 

3 réflexions sur “Péninsule de Samaná : 10 Bonnes raisons de voyager hors saison”

  1. Impresionante y brillante relato, gracias.Viajo con mi mujer en próximo enero a Las Galeras,aunque mi pena es que serán solo tres días,y desearía encontrar una mínima excusa para poder quedarme a vivir en esa zona.No se si vos, podria ayudarme o asesorarme para encontrar esa \ »excusa\ » que me permita quedarme a vivir en la zona . al menos sobreviviendo. Gracias

  2. Bonjour,
    Votre blog est super, bravo ! Il est d’une grande aide lorsque l’on s’intéresse à la RD authentique.
    Nous irions 17 jours en août, l’avion coûte 1000€ par pers. Pensez-vous que l’on peut se baser sur un budget du Yucatan au Mexique (même période il y a 2 ans) de 3500€ tout compris ?
    Je pense que nous prendrions les transports en commun pour économiser et être au plus près de la vie locale.
    Merci beaucoup et bonne journée,

    Laure

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